Lyric'Art Média

Faire de la culture la valeur la mieux partagée…

GENERALNEWSTRIBUNE

Tribune N°10 : Le Dakwen zan, une invite à déguster un mets authentique du Bénin…

Partagez!

Le Bénin est un vivier culturel et touristique, en témoigne l’existence d’un patrimoine  riche et varié. Au cœur de cette variété, le patrimoine culinaire est une mine d’or de saveurs et de délices plus explosif d’une localité à l’autre.

Ce numéro de votre émission Tribune vous plonge dans l’univers de deux amazones du patrimoine culinaire du Bénin dont nous recevons une, Pretextat Ruth Sènami GBELIDJI alias la Go Pioun, qui rend hommage à un mets légendaire du Sud – Bénin, le Dakwen, à travers leur évènement Dakwen zan (le Jour de dakouin). Découvrons !

Sinclair Bellonne

Ruth Senami Prétextat GBELIDJI
Ruth Senami Prétextat GBELIDJI, Promotrice Dakwen Zan

LAT : Bonjour Sènami, vous êtes promotrice du Dakwen zan, un évènement pour célébrer le Dakouin, mais avant d’en venir, parlez – nous un peu de vous ?

Sènami GBELIDJI : Bonjour à tous, Je suis Ruth Senami Prétextat GBELIDJI, Journaliste, technicienne Audiovisuel et Communicante, accompagnée de Marcelline Atassénam Abou HINNOUHO, Journaliste, Sociolinguiste, Entrepreneure et Téléconseillère, toutes deux promotrices de l’événement Dakwen zan.

LAT : Dakwen zan, qu’est-ce qu’on doit en savoir ?

Sènami GBELIDJI : Le dakouin, c’est un plat béninois réalisé avec du poisson, des tomates et du gari.

LAT : Qu’est-ce qui vous a motivé à initier cet évènement ?

Sènami GBELIDJI : Notre objectif à l’initiation de cet événement est de faire la promotion et la valorisation de l’art culinaire béninois, et de faire connaître ce met au grand public grâce un brassage d’ethnies et de race et permettre aux participants de pouvoir se réseauter. Faire découvrir et encourager les béninois au consommons local, leurs prouver que tout le monde peux manger du dakouin, que tu soit du nord ou du sud.

Nous allons également renforcer le sentiment d’identité  culturelle en encourageant le port de la tenu traditionnel. Et également sensibiliser  le public à l’importance de préserver les recettes traditionnelles.

Marcelline Atassénam Abou HINNOUHO
Marcelline Atassénam Abou HINNOUHO, Promotrice Dakwen Zan

LAT : A quoi doit-on s’attendre le 14 Avril Prochain au Dakwen zan ?

Sènami GBELIDJI : Le 14 Avril, nous vous réservons beaucoup de choses. Au programme, vous allez danser rien qu’aux rythmes traditionnels assuré par un groupe folklorique, déguster le met du jour, le dakwen accompagné de la boisson locale qui est le tchakpalo. Il y aura également le Body painting c’est-à-dire le maquillage artistique et le photo shoot pour les amoureux de shooting professionnel. Un concours du meilleur danseur du rythme Agbadja viendra boucler les festivités. Un excellent creuset de réseautage pour tous les participants. Voilà un peu à quoi vous allez vous attendre à dakwen Zan ce dimanche.

LAT : Quelle sera la suite ?

Sènami GBELIDJI : La suite est qu’il y aura d’autres éditions et nous sommes aussi ouvertes aux analyses et critiques afin de mieux les intégrer pour les éditions à venir, mais pour nous actuellement l’essentiel est de semer la joie dans les cœurs.

LAT : Quelles sont vos difficultés dans l’organisation de l’évènement ?

Sènami GBELIDJI : Il n’y a jamais une organisation sans difficultés, nous avons faire de ça notre quotidien, car elle nous ont permis de gagner en expérience et toujours gardé le sourire quelques soit la difficulté.

LAT : Quelle sont vos projets professionnels actuellement ?

Sènami GBELIDJI : Parlant de projet ! Je ne dirai pas grand chose mais je peux vous rassurer qu’en instances nous avons beaucoup d’autres activités / projet qui seront plutard dévoiler au grand public.

LAT : Que diriez – vous pour conclure !

Sènami GBELIDJI : Pour terminer, je remercie d’abord nos partenaires pour les différents efforts fourni dans l’organisation de cet événement. Je remercie aussi les participants pour la confiance placé en nous.

Organiser un événement n’est pas une chose facile, mais il faut avoir la tête sur les épaules. Mais ce qui est bien, quand on a de l’amour pour ce qu’on fait, c’est toujours une réussite et il faut toujours être positive, car ce que nous faisons aujourd’hui ce n’est au moment précis que l’on bénéficie mais après.

Nous invitons toutes ces personnes qui nous suivent à nous soutenir…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *